1997Ecstasy || Principaux types d'exposition à l'amiante || Grande prématurité || Hépatites viraleshttp://hdl.handle.net/10608/182024-03-02T10:44:47Z2024-03-02T10:44:47ZHépatites virales : Dépistage, prévention, traitement. Synthèse et recommandations.http://hdl.handle.net/10608/2062019-03-20T10:41:43Z1997-01-01T00:00:00ZHépatites virales : Dépistage, prévention, traitement. Synthèse et recommandations.
Ce document présente la synthèse et les recommandations du groupe d'experts réunis par l'INSERM, dans le cadre de la procédure d'expertise collective, pour répondre aux questions posées par la Mutuelle Générale de l'Education Nationale (MGEN) sur les stratégies de dépistage, de prévention et de traitement des hépatites virales.
Synthèse et recommandations d'expertise collective (fascicule), 1-29p.
1997-01-01T00:00:00ZHépatites virales : Dépistage, prévention, traitementhttp://hdl.handle.net/10608/2052019-03-20T10:41:56Z1997-01-01T00:00:00ZHépatites virales : Dépistage, prévention, traitement
Les hépatites virales, en particulier les hépatites B et C, représentent un problème de santé publique important en France, encore largement sous-estimé. Responsables d'infections chroniques pouvant conduire à des cirrhoses et des cancers primitifs du foie, les virus des hépatites B et C ont fait l'objet de nombreux travaux tant pour comprendre leur biologie moléculaire que pour mettre au point des vaccins efficaces. L'existence d'un vaccin contre l'hépatite B, fabriqué par génie génétique depuis 1989, a permis de proposer une politique vaccinale dans tous les pays développés. Axée tout d'abord sur les groupes à risque, puis étendue de manière systématique aux pré-adolescents, la vaccination est maintenant recommandée en France dans le calendrier vaccinal du nourrisson. Une telle politique devrait à terme permettre l'éradication de l'infection par le virus B. En l'absence d'un vaccin contre le virus de l'hépatite C, la prévention contre cette infection reste du domaine de la recommandation de prophylaxie primaire.
Parallèlement à ces hépatites à transmissions sanguine et/ou sexuelle, des épidémies d'hépatites à transmission entérale (A et E) continuent de se produire ponctuellement, sans pour autant constituer un réel danger pour les populations. Cependant, il faut souligner que la baisse d'immunité naturelle dans la population la plus jeune, compte tenu de meilleures conditions d'hygiène aujourd'hui, entraîne un risque plus grand de maladie grave à l'âge adulte nécessitant, dans de rares cas, une transplantation hépatique. L'application des règles de vaccination prévues pour tous les sujets susceptibles de transmettre le virus (personnels affectés à la restauration collective, voyageurs en zone d'endémie...) doit permettre d'éviter la survenue d'épidémies.
Expertise collective Inserm. Rapport complet, 265p.
1997-01-01T00:00:00ZGrande prématurité : Dépistage et prévention du risquehttp://hdl.handle.net/10608/2042019-03-20T10:41:20Z1997-01-01T00:00:00ZGrande prématurité : Dépistage et prévention du risque
La grande prématurité est à l'origine de près de 50 % de la mortalité périnatale et de presque la moitié des séquelles motrices observées dans la petite enfance. Compte tenu de sa fréquence et de ses conséquences ultérieures sur la qualité de la survie de l'enfant, la grande prématurité reste un problème grave de santé publique. Aujourd'hui, le nombre d'enfants grands prématurés sans handicap augmente, mais le nombre d'enfants grands prématurés avec handicap augmente également. Rechercher les facteurs de risque d'accouchement très prématuré et en particulier ceux accessibles à une prévention a constitué l'un de objectifs du groupe d'experts réunis par l'INSERM pour répondre à la demande du Ministère de la Santé.
L’analyse critique de l'ensemble de la littérature réalisée par le groupe d'experts et rapportée dans cet ouvrage met en lumière le rôle de certains facteurs de risque comme le grossesses multiples, les infections maternelles au cours de la grossesse et d'autres facteurs liés aux conditions de vie des femmes enceintes. Ces facteurs de risque, accessibles à une prévention, ont été le point d'appui de recommandations destinées au ministère de la Santé. Le groupe d'experts a également débattu des connaissances sur les étapes importantes du développement du foetus, cérébral ou pulmonaire. Considérer toutes les données du problème que pose une naissance très prématurée est en effet essentiel pour le praticien. Après les avancées considérables constatées ces vingt dernières années en obstétrique et en néonatologie, les recherches scientifiques et médicales sur la grande prématurité s'inscrivent dans une politique d'optimisation des conditions de sécurité pour la mère et l'enfant au cours de la grossesse, de la naissance et de la petite enfance, objectif prioritaire de nos sociétés modernes.
Expertise collective Inserm. Rapport complet, 273p.
1997-01-01T00:00:00ZEffets sur la santé des principaux types d'exposition à l'amiantehttp://hdl.handle.net/10608/2032019-03-20T10:41:22Z1997-01-01T00:00:00ZEffets sur la santé des principaux types d'exposition à l'amiante
Initié à la demande de la Direction des Relations du Travail et de la Direction Générale de la Santé, ce travail d’expertise collective rassemble l’ensemble des connaissances sur les effets sur la santé des principaux types d’exposition à l’amiante et propose une estimation des risques de cancer broncho-pulmonaire et de mésothéliome associés aux faibles niveaux d’exposition. L’exploitation industrielle des gisements d’amiante a commencé il y a plus d’un siècle ; très vite, l’exposition aux poussières d’amiante a été reconnue délétère pour la santé des travailleurs des industries d’extraction et de transformation. L’asbestose, la fibrose pulmonaire due à l’amiante, inscrite au tableau des maladies professionnelles dès 1948, a aujourd’hui pratiquement disparu des pays industrialisés du fait de la diminution des niveaux d’expositions dans ces pays. Les plaques pleurales forment aujourd’hui l’essentiel des pathologies bénignes associées à l’amiante. Mais l’amiante est aussi responsable de cancers, cancer de la plèvre et cancers broncho-pulmonaires, se manifestant longtemps - vingt à quarante ans - après le début de l’exposition. Cet ouvrage s’attache à proposer la revue des mécanismes biologiques aboutissant à ces états pathologiques.
Expertise collective Inserm. Rapport complet, XI - 434p.
1997-01-01T00:00:00Z