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dc.contributor.authorMarie, JPfr_FR
dc.date.accessioned2013-04-08T14:32:53Z
dc.date.available2013-04-08T14:32:53Z
dc.date.issued1990fr_FR
dc.identifier.citationMarie, JP, Le phénomène de résistance multiple aux anticancéreux : les gènes MDR et la P-gp, Med Sci (Paris), 1990, Vol. 6, N° 5; p.443-448fr_FR
dc.identifier.issn1958-5381fr_FR
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/4166
dc.description.abstractLa résistance aux cytostatiques est l'obstacle majeur au traitement de nombreux cancers. Les causes d'échecs des chimiothérapies sont multiples, la principale étant une résistance intrinsèque de la cellule tumorale. La reconnaissance d'une glycoprotéine de 170 kDa (la P-gp) à la surface de cellules de lignées tumorales rendues résistantes à des cytostatiques de mode d'action différent, a permis de décrire un phénotype de cellules "multirésistantes" (MDR, pourmultidrug resistance). Cette P-gp, codée par le gène MDR1 chez l'homme, a un rôle de pompe, chassant hors de la cellule les cytostatiques. Sa responsabilité dans la résistance clinique des tumeurs humaines est suspectée, en raison de son expression souvent élevée dans des cancers d'emblée ou devenus chimiorésistants. Des essais thérapeutiques d'inhibition de cette P-gp sont actuellement en cours.fr
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherJohn Libbey Eurotext, Montrougefr_FR
dc.rightsArticle en libre accèsfr
dc.rightsMédecine/Sciences - Inserm - SRMSfr
dc.sourceM/S. Médecine sciences [revue papier, ISSN : 0767-0974], 1990, Vol. 6, N° 5; p.443-448fr_FR
dc.titleLe phénomène de résistance multiple aux anticancéreux : les gènes MDR et la P-gpfr
dc.typeArticlefr_FR
dc.identifier.doi10.4267/10608/4166


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