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dc.contributor.authorDhenain, Marc-
dc.contributor.authorLehéricy, Stéphane-
dc.contributor.authorDuyckaerts, Charles-
dc.date.accessioned2014-02-14T13:17:42Z
dc.date.available2014-02-14T13:17:42Z
dc.date.issued2002fr_FR
dc.identifier.citationDhenain, Marc ; Lehéricy, Stéphane ; Duyckaerts, Charles ; Le diagnostic : de la neuropathologie à l’imagerie cérébrale, Med Sci (Paris), 2002, Vol. 18, N° 6-7; p. 697-708 ; DOI : 10.1051/medsci/20021867697fr_FR
dc.identifier.issn1958-5381fr_FR
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/4997
dc.description.abstractLes seuls critères qui permettent, encore aujourd’hui, de porter avec certitude le diagnostic de maladie d’Alzheimer reposent sur l’observation microscopique d’une pathologie neurofibrillaire et de dépôts de peptide Aβ dans le cerveau. Ces lésions sont associées à d’autres altérations telles que des pertes neuronales et synaptiques ou une activation microgliale. Les dépôts de peptide Aβ ont une topographie diffuse. La pathologie neurofibrillaire est répartie de façon « hiérarchique » : sa progression dans les différentes aires corticales suit un ordre chronologique qui permet de déterminer le stade de la maladie. Cette progression peut prendre plusieurs décennies. Détecter précocement les signes de la maladie par neuro-imagerie permettrait de prévoir cette évolution et de tenter de la retarder ou de l’arrêter. Chez l’homme, les études cherchant à visualiser directement les lésions de la maladie par neuro-imagerie étant encore infructueuses, ce sont les signes secondaires qui sont utilisés pour suggérer un diagnostic. L’atrophie temporale médiane, qui peut être détectée par imagerie par résonance magnétique nucléaire, est très évocatrice surtout si elle évolue rapidement lors d’examens répétés. D’autres signes mis en évidence par la résonance magnétique nucléaire (modifications de la diffusion de l’eau, altérations spectroscopiques, réduction de la perfusion cérébrale), la tomographie par émission de positons (TEP) ou la tomographie par émission de photon unique (TEMP) (modification de la perfusion cérébrale et du métabolisme cérébral du glucose, niveau d’activité de certains neurotransmetteurs) sont actuellement en cours d’investigation et pourraient, dans le futur, apporter des informations utiles pour le clinicien dans sa pratique journalière.fr
dc.description.abstractAt the present time, the definite diagnosis of Alzheimer’s disease relies on the microscopic observation of neuro-fibrillary pathology and Aβ peptide deposition in the brain. These lesions are associated with other alterations such as neuronal and synaptic loss or microglial activation. The Aβ deposits are diffusely distributed in the cerebral cortex; the neurofibrillary changes have a hierarchical distribution. The progression of the neurofibrillary pathology in the cortical areas follows a stereo-typed sequence that may help to grade the severity of the disease. Progression may take decades. Being able to detect Alzheimer’s disease related alterations by neuroimagery in the early stage of the disease would be useful to predict its progression and delay its occurrence. In humans, attempts to directly visualize the lesions by neuroimaging techniques are still unsuccessful. Secondary signs have to be used to suggest the diagnosis. Atrophy of the medial temporal lobe and its rapid progression over serially acquired magnetic resonance imaging scans are considered presently the most reliable signs of the disease. Other signs shown by nuclear magnetic resonance (water diffusion alterations, spectroscopic changes, cerebral perfusion reduction), by positron emission tomography (PET) or single photon emission computed tomography (SPECT) (changes in cerebral perfusion and glucose metabolism, or in neurotransmitters activity levels) are currently being evaluated. They might be useful to the clinician in the future.en
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherEDKfr_FR
dc.relation.ispartofM/S Revues : Articles de Synthèsefr_FR
dc.rightsArticle en libre accèsfr
dc.rightsMédecine/Sciences - Inserm - SRMSfr
dc.sourceM/S. Médecine sciences [ISSN papier : 0767-0974 ; ISSN numérique : 1958-5381], 2002, Vol. 18, N° 6-7; p. 697-708fr_FR
dc.titleLe diagnostic : de la neuropathologie à l’imagerie cérébralefr
dc.typeArticlefr_FR
dc.contributor.affiliationInserm U.350, Institut Curie, Centre universitaire, Laboratoire 112, 91405 Orsay Cedex, Francefr_FR
dc.contributor.affiliationService de Neuroradiologie Fischgold, Bâtiment Babinski, Hôpital de la Salpêtrière, 47, boulevard de l’Hôpital, 75651 Paris Cedex 13, Francefr_FR
dc.contributor.affiliationLaboratoire R. Escourolle, Hôpital de la Salpêtrière, 47, boulevard de l’hôpital, 75651 Paris Cedex 13, Francefr_FR
dc.identifier.doi10.1051/medsci/20021867697fr_FR


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