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dc.contributor.authorPetite, Hervé-
dc.date.accessioned2014-02-14T13:44:47Z
dc.date.available2014-02-14T13:44:47Z
dc.date.issued2002fr_FR
dc.identifier.citationPetite, Hervé ; La bio-ingénierie de la régénération osseuse, Med Sci (Paris), 2002, Vol. 18, N° 10; p. 995-1002 ; DOI : 10.1051/medsci/20021810995fr_FR
dc.identifier.issn1958-5381fr_FR
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/5050
dc.description.abstractLes pertes de substance, surtout lorsqu’elles sont de grande taille, mettent souvent à mal les capacités naturelles de réparation de l’os. Leur traitement repose alors essentiellement sur l’apport d’os autologue. Cependant, l’autogreffe osseuse n’est pas toujours possible. Le prélèvement ne peut en effet se faire qu’en quantité limitée et engendre une morbidité non négligeable. Le chirurgien peut utiliser alternativement des alloimplants ou des biomatériaux ostéoconducteurs. Ces matériaux ne rendent hélas des services que pour le comblement de défauts de petite taille. Biologiquement « muets », ils ne servent que de support passif à la formation osseuse. Ces limites ont incité les chercheurs à développer des substituts du tissu osseux ayant un fort pouvoir ostéogène conféré par l’intermédiaire de facteurs de croissance ou de cellules ostéocompétentes. Des études cliniques prospectives doivent être effectuées afin d’évaluer la place de ces nouvelles techniques dans l’arsenal thérapeutique du chirurgien orthopédiste.fr
dc.description.abstractWhereas most bone defects will heal spontaneously, 5 to 10 % will require further treatment for compromised healing. In addition, there are specific clinical settings in which large pieces of bone must be resected. In these challenging situations, autologous bone graft is the preferred treatment to obtain bone union. However, autologous bone cannot always be harvested in sufficient amount and has several limitations. Alternatively, surgeons can use osteoconductive bone substitutes but their success is limited as they only provide a scaffold, which needs to be invaded by bone forming cells to achieve bone repair. Recent advances in cell and molecular biology have opened new avenues for improving the osteogenic potential of these materials including their supplementation with either mesenchymal stem cells or growth factors. Whereas preliminary clinical studies have shown that these strategies could be interesting alternatives, further prospective randomized trials are needed to objectively compare them to established treatment.en
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherEDKfr_FR
dc.relation.ispartofM/S Revues : Dossier Techniquefr_FR
dc.rightsArticle en libre accèsfr
dc.rightsMédecine/Sciences - Inserm - SRMSfr
dc.sourceM/S. Médecine sciences [ISSN papier : 0767-0974 ; ISSN numérique : 1958-5381], 2002, Vol. 18, N° 10; p. 995-1002fr_FR
dc.titleLa bio-ingénierie de la régénération osseusefr
dc.typeArticlefr_FR
dc.contributor.affiliationLaboratoire de Recherches Orthopédiques, UPRES-A Cnrs 7052, Faculté de Médecine Lariboisière Saint-Louis, Université Denis Diderot, 10, avenue de Verdun, 75010 Paris, Francefr_FR
dc.identifier.doi10.1051/medsci/20021810995fr_FR


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