Afficher la notice abrégée

dc.contributor.authorVidal, Catherine-
dc.contributor.authorGilgenkrantz, Simone-
dc.date.accessioned2014-07-03T06:48:53Z
dc.date.available2014-07-03T06:48:53Z
dc.date.issued2005fr_FR
dc.identifier.citationVidal, Catherine ; Gilgenkrantz, Simone ; Cerveau, sexe et préjugés, Med Sci (Paris), 2005, Vol. 21, N° 12; p. 1112-1114 ; DOI : 10.1051/medsci/200521121112fr_FR
dc.identifier.issn1958-5381fr_FR
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/5659
dc.description.abstractEn janvier 2005, Laurence Summers, président de la prestigieuse université d’Harvard, laissait clairement entendre que le faible nombre de femmes dans les disciplines scientifiques s’expliquait par leur incapacité innée à réussir dans ces domaines. Vérité politiquement incorrecte ou prejudge machiste, cette affirmation a soulevé un tollé dans les campus américains et dans les médias. À nouveau est réapparue cette interrogation récurrente : le cerveau a-t-il un sexe ?fr
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherEDKfr_FR
dc.relation.ispartofForumfr_FR
dc.rightsArticle en libre accèsfr
dc.rightsMédecine/Sciences - Inserm - SRMSfr
dc.sourceM/S. Médecine sciences [ISSN papier : 0767-0974 ; ISSN numérique : 1958-5381], 2005, Vol. 21, N° 12; p. 1112-1114fr_FR
dc.subject.meshEncéphalefr
dc.subject.meshFemellefr
dc.subject.meshHumainsfr
dc.subject.meshMâlefr
dc.subject.meshPrejugéfr
dc.subject.meshCaractères sexuelsfr
dc.titleCerveau, sexe et préjugésfr
dc.typeArticlefr_FR
dc.contributor.affiliationNeurobiologiste à l’Institut Pasteur, 28, rue du Docteur Roux, 75015 Paris Francefr_FR
dc.identifier.doi10.1051/medsci/200521121112fr_FR
dc.identifier.pmid16324655fr_FR


Fichier(s) constituant ce document

Thumbnail

Ce document figure dans la(les) collection(s) suivante(s)

Afficher la notice abrégée