Un virus tapi dans l’ombre : les bases moléculaires de la latence du VIH-1 : Partie I : la physiologie de la latence du VIH-1

Date
2010Auteur
Schwartz, Christian
Le Douce, Valentin
Cherrier, Thomas
Redel, Laetitia
Marban, Céline
Aunis, Dominique
Rohr, Olivier
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Afficher la notice complèteRésumé
L’introduction de la multithérapie active en 1996 s’est avérée très efficace et avait entretenu l’espoir d’éradiquer le virus du Sida. Malheureusement, des obstacles à son éradication sont rapidement apparus, notamment la mise en évidence du phénomène de latence virale dans les principales cellules cibles du virus, dont les lymphocytes T CD4+ et les cellules microgliales, constituant ainsi des réservoirs. Une compréhension fine des bases moléculaires de cette latence virale est ainsi nécessaire pour permettre d’agir plus efficacement d’un point de vue thérapeutique. The introduction of the highly active antiretroviral therapy (HAART) in 1996 has greatly extended survival and raised hopes for the eradication of HIV-1. Unfortunately, the optimism declined by revealing the existence of latent HIV-1 reservoirs in cells targeted by the virus. The long-lived HIV-1 reservoirs constitute a major obstacle to the eradication of HIV-1. Understanding the molecular mechanisms of virus latency is essential for efficient therapeutic intervention against the virus.
Pour citer ce document
Schwartz, Christian ; Le Douce, Valentin ; Cherrier, Thomas ; Redel, Laetitia ; Marban, Céline ; Aunis, Dominique ; Rohr, Olivier ; Un virus tapi dans l’ombre : les bases moléculaires de la latence du VIH-1 : Partie I : la physiologie de la latence du VIH-1, Med Sci (Paris), 2010, Vol. 26, N° 2 ; p. 159-164 ; DOI : 10.1051/medsci/2010262159