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dc.contributor.authorChabannon, Cfr_FR
dc.date.accessioned2012-08-23T07:50:17Z
dc.date.available2012-08-23T07:50:17Z
dc.date.issued1998fr_FR
dc.identifier.citationChabannon, C, Le transfert incertain de la science vers la médecine : l'exemple des systèmes de sélection de cellules CD34+., Med Sci (Paris), 1998, Vol. 14, N° 2; p.183-7fr_FR
dc.identifier.issn1958-5381fr_FR
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/1006
dc.description.abstractLes dernières années ont vu l’apparition de biotechnologies nouvelles destinées à améliorer les résultats des transplantations de cellules hématopoïétiques. Les dispositifs biomédicaux de séparation des cellules exprimant l’antigène CD34 en sont un exemple. Ces dispositifs d’immunoadsorption dérivent de technologies simples utilisées depuis de nombreuses années dans les laboratoires de biologie. Ils reposent tous sur l’utilisation d’un anticorps monoclonal murin reconnaissant l’antigène CD34 humain, et d’une méthode d’immobilisation des cellules recouvertes de l’anticorps. Alors que la technique est simple, l’expérience croissante rapportée par plusieurs groupes de recherche clinique illustre la difficulté de définir des applications thérapeutiques à une technologie existante. Faut-il – et comment – démontrer un bénéfice clinique associé à la réduction du nombre des cellules tumorales contaminant un greffon hématopoïétique autologue, ou à la réduction du nombre de cellules T d’un greffon allogénique avant d’étendre l’utilisation de tels dispositifs ; quels sont alors les inconvénients – incluant le coût – qui sont acceptables ? Une réponse satisfaisante à ces questions n’a pas été apportée à ce jour.fr
dc.description.abstractRecent years witnessed the introduction of innovative biotechnologies that changed and introduced more complexity in human hematopoietic progenitor cell transplantation. Biomedical devices that select CD34 positive cells are one such example. These immunoadsorption devices are based on simple technologies that have been in use for many years in research laboratories; they are all based on the use of a murine monoclonal antibody that recognizes the human membrane antigen CD34, and a method designed to retain antibody-coated CD34 positive cells while CD34 negative cells are eluted. While the technique is simple, the growing experience reported by several clinical research groups illustrates the difficulties associated with the evaluation of innovative therapies, and the definition of potential clinical uses. How will the demonstration of clinical benefits associated with tumor purging of autologous grafts, or T-cell depletion of allogeneic graft be required, before the use of these biomedical devices is eventually recommended? Which side effects - including the increase in cost of transplantation - are then acceptable? These questions remained open as of today. [References: 32]en
dc.language.isofrfr_FR
dc.publisherMasson, Parisfr_FR
dc.rightsArticle en libre accèsfr
dc.rightsMédecine/Sciences - Inserm - SRMSfr
dc.sourceM/S. Médecine sciences [revue papier, ISSN : 0767-0974], 1998, Vol. 14, N° 2; p.183-7fr_FR
dc.titleLe transfert incertain de la science vers la médecine : l'exemple des systèmes de sélection de cellules CD34+.fr
dc.title.alternativeFrom science to medicine, an uncertain step : lessons from CD34+ cell selection devices.fr_FR
dc.typeArticlefr_FR
dc.contributor.affiliationLaboratoire de biologie cellulaire et Unite de transplantation et de therapie cellulaire, Institut Paoli-Calmettes, Centre regional de lutte contre le cancer Provence-Alpes-Cote d'Azur, 232, boulevard Sainte-Marguerite, 13273 Marseille, France.-
dc.identifier.doi10.4267/10608/1006


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