La fin du « Citius » : l’évolution des records du monde annonce les limites de la progression physiologique humaine
Résumé
Aussi surprenant que cela puisse paraître, les records du monde, au delà de leur signification à l’échelle de l’histoire du sport, sont aussi sources de controverse scientifique en ce qu’ils génèrent les indicateurs des limites physiologiques humaines. L’équipe de l’IRMES, Institut de Recherche bioMédicale et d’Epidémiologie du Sport, dont l’Inserm est partenaire* vient d’analyser l’ensemble des 3263 records du monde homologués des 5 disciplines olympiques quantifiées (athlétisme, natation, cyclisme, patinage de vitesse, haltérophilie) établis entre 1896, année des premiers Jeux olympiques de l’ère moderne, et aujourd’hui. Ils concluent qu’en 2027 la moitié des records du monde ne sera plus améliorable de façon significative.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. La fin du « Citius » : l’évolution des records du monde annonce les limites de la progression physiologique humaine. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 6 février, 2008, 2 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous