dc.contributor.author | Bureau de presse INSERM | |
dc.contributor.editor | Inserm | fr |
dc.date.accessioned | 2023-08-04T16:00:55Z | |
dc.date.available | 2023-08-04T16:00:55Z | |
dc.date.issued | 2010 | fr |
dc.identifier.citation | Bureau de presse INSERM. Un but ça va, trois buts c’est plus délicat. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 15 avril 2010, 2 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous | fr |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/10608/13648 | |
dc.description | Comment le cerveau parvient-il à intégrer les différents buts que nous nous fixons ? Dans quelle partie du cerveau ces informations sont elles « traitées » ? Combien de buts simultanés le cerveau est-il capable d’enregistrer ? Autant de questions auxquelles les chercheurs en neurosciences tentent de répondre depuis de nombreuses années. Dans une étude à paraître cette semaine dans la revue Science, des chercheurs de l’Inserm et de l’Ecole normale supérieure, Sylvain Charron et Etienne Koechlin montrent que, dès qu’une personne se fixe deux buts simultanément, chacun d’eux est représenté dans un hémisphère différent de son cerveau. Au-delà de deux buts, le cerveau humain ne semble plus en mesure de coordonner. | fr |
dc.language.iso | fr | fr |
dc.publisher | Inserm | fr |
dc.relation.ispartof | Communiqués de Presse INSERM | fr |
dc.rights | Document en accès libre – https://www.ipubli.inserm.fr/mentions | |
dc.source | Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 15 avril 2010, 2 p ; numérisé sous le format PDF. | fr |
dc.title | Un but ça va, trois buts c’est plus délicat | fr |
dc.type | Archives | fr |
dc.contributor.affiliation | Unité Inserm 960 « Laboratoire de Neurosciences Cognitives » | |