De l'ADN non codant au secours des maladies des globules rouges
Résumé
Des régions non codantes du génome semblent diminuer la sévérité de deux maladies des globules rouges : la bêta thalassémie et la drépanocytose. Une équipe de chercheurs dirigée par Eric Soler (Unité Inserm 967 " Stabilité génétique, cellules souches et radiations ", hébergée au CEA de Fontenay-aux- Roses1) en collaboration avec une équipe anglaise et une équipe néerlandaise2 est parvenue à élucider les mécanismes expliquant comment des séquences d'ADN non codant, autrefois appelé "ADN poubelle", et situées sur des régions très éloignées des gènes, exercent leur action pour améliorer les symptômes des bêta thalassémies et des drépanocytoses. Ces travaux seront publiés dans la revue Journal of Clinical Investigation et seront accessibles en ligne à partir du 10 mars 2014.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. De l'ADN non codant au secours des maladies des globules rouges. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 11 mars, 2014, 3 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous