Des neurones d'emblée trop sensibles au stress cellulaire dans la maladie de Huntington
Résumé
Les neurones ne peuvent pas se défendre correctement contre la maladie de Huntington, et ce, dès le début de la pathologie. C'est ce qu'une équipe de chercheurs de l'Inserm de l'Institut de biologie Paris-Seine (Inserm/CNRS/université Pierre et Marie Curie) et leurs collègues américains et australiens ont découvert. En cause, la défaillance d’un mécanisme important de longévité cellulaire. Au-delà de ce résultat, cette étude montre l'importance de restaurer la capacité de résistance au stress des neurones pour retarder les manifestations de la maladie. Des travaux qui conduisent à une nouvelle façon d’envisager de traiter les maladies neurodégénératives. Les résultats de ce travail sont publiés dans PLoS Biology.
Pour citer ce document
Bureau de presse INSERM. Des neurones d'emblée trop sensibles au stress cellulaire dans la maladie de Huntington. Communiqué de presse de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 24 juin, 2014, 3 p ; numérisé sous le format PDF. URI :voir ci-dessous