dc.contributor.author | Gros, F | fr_FR |
dc.contributor.author | Montarras, D | fr_FR |
dc.contributor.author | Pinset, C | fr_FR |
dc.contributor.author | Mouly, V | fr_FR |
dc.date.accessioned | 2013-04-08T14:11:43Z | |
dc.date.available | 2013-04-08T14:11:43Z | |
dc.date.issued | 1990 | fr_FR |
dc.identifier.citation | Gros, F ; Montarras, D ; Pinset, C ; Mouly, V, Hétérogénéité myoblastique et filiation myogénique, Med Sci (Paris), 1990, Vol. 6, N° 3; p.245-251 | fr_FR |
dc.identifier.issn | 1958-5381 | fr_FR |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/10608/4125 | |
dc.description.abstract | Il existe plusieurs espèces de myoblastes au cours de l'ontogenèse, ceux qui demeurent dans le territoire somitique (myotome), à l'origine des muscles du tronc, et ceux qui migrent vers l'extérieur, à l'origine des bourgeons des membres. A ce dernier niveau, la culture cellulaire permet de montrer que se succèdent des populations myoblastiques distinctes aux destins différents. Sur le plan moléculaire, plusieurs populations de myoblastes peuvent aussi être distinguées par l'expression des gènes de différenciation myogénique de la famille MyoD1. La plupart des lignées myoblastiques expriment Myf5, alors que l'expression de MyoD1 et de Myogénine serait associée à la décision de se différencier en myotubes. Il se pourrait par conséquent que Myf5 intervînt dans la détermination myogénique, alors que, en aval, MyoD1 et Myogénine seraient impliqués dans l'activation de la différenciation terminale. | fr |
dc.language.iso | fr | fr_FR |
dc.publisher | John Libbey Eurotext, Montrouge | fr_FR |
dc.rights | Article en libre accès | fr |
dc.rights | Médecine/Sciences - Inserm - SRMS | fr |
dc.source | M/S. Médecine sciences [revue papier, ISSN : 0767-0974], 1990, Vol. 6, N° 3; p.245-251 | fr_FR |
dc.title | Hétérogénéité myoblastique et filiation myogénique | fr |
dc.type | Article | fr_FR |
dc.identifier.doi | 10.4267/10608/4125 | |