JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.
  • Nos collections

    • Rapports d'expertise collectiveLes Cahiers du Comité pour l'histoire de l'InsermArchives et patrimoine numériqueRevue médecine/sciencesInserm magazineLes Dossiers Sciences et société
  • Parcourir

    • Tout iPubliCommunautés & CollectionsPar date de publicationAuteursTitresSujetsCette collectionPar date de publicationAuteursTitresSujets
  • Mon compte

    • Ouvrir une session
  • Rapport d'activité

    • Publications les plus consultéesStatistiques par paysAuteurs les plus consultés
  • Lexique iPubli

  Accueil iPubli 
  •   Accueil iPubli
  • Revue médecine/sciences
  • médecine/sciences 2003
  • MS 2003 num. 05
  • Voir le document
  •   Accueil iPubli
  • Revue médecine/sciences
  • médecine/sciences 2003
  • MS 2003 num. 05
  • Voir le document
Ecoutez
Lexique de ce document Lexique de ce document
TermeDéfinition

En savoir plus

  • Bref historique
  • Site de l'éditeur EDP Sciences

La maladie de Parkinson : que nous apprennent les gènes responsables des formes familiales ?

Thumbnail
Date
2003-05
Auteur
Corti, Olga
Brice, Alexis
Voir/Ouvrir
MS_2003_05_613.pdf (250.0Ko)
MS_2003_05_613.html (52.49Ko)
Metadata
Afficher la notice complète
Résumé
La maladie de Parkinson est caractérisée par la mort progressive et préférentielle des neurones dopaminergiques de la substantia nigra et la présence d’inclusions protéiques ubiquitinylées, les corps de Lewy. Durant ces six dernières années, quatre gènes impliqués dans de rares formes familiales de maladie de Parkinson ont été identifiés: des mutations des gènes de l’α-synucléine et de l’ubiquitine hydrolase UCH-L1 (ubiquitin carboxyterminal hydrolase L1) sont associées à des formes autosomiques dominantes, tandis que des mutations des gènes de la parkine et de DJ-1 sont responsables de formes autosomiques récessives. Un gain de fonction toxique, associé à l’assemblage de l’α-synucléine en fibrilles insolubles de type amyloïde, pourrait rendre compte de la mort neuronale dans les syndromes parkinsoniens dus à des mutations du gène de l’α-synucléine. En revanche, une perte de fonction serait à l’origine de la maladie de Parkinson provoquée par des mutations des gènes de la parkine et d’UCH-L1, deux enzymes clés de la voie protéolytique ubiquitine-protéasome. La présence d’α-synucléine, de parkine et d’UCH-L1 dans les corps de Lewy suggère qu’un dysfonctionnement des voies de repliement et de dégradation des protéines pourrait jouer un rôle non seulement dans les formes familiales de maladie de Parkinson, mais également dans la forme sporadique, plus fréquente.
 
Parkinson’s disease is characterized by the progressive and selective loss of the dopaminergic neurons in the substantia nigra and the presence of ubiquitinated protein inclusions termed Lewy bodies. In the past six years, four genes involved in rare inherited forms of Parkinson’s disease have been identified: mutations in the α-synuclein and ubiquitin carboxyterminal hydrolase L1 genes (UCH-L1) cause autosomal dominant forms, whereas mutations in the Parkin and DJ-1 genes are responsible for autosomal recessive forms of the disease. A toxic gain of function related to the ability of α-synuclein to assemble into insoluble amyloid fibrils may underlie neuronal cell death in parkinsonism due to α-synuclein gene mutations. In contrast, loss of protein function appears to be the cause of the disease in parkinsonism due to mutations in the genes encoding Parkin and UCH-L1, which are key enzymes of the ubiquitin-proteasome pathway. The presence of α-synuclein, Parkin and UCH-L1 in Lewy bodies suggests that dysfunction of pathways involved in protein folding and degradation is not only involved in the pathogenesis of familial Parkinson’s disease, but could also play a role in the frequent sporadic form of the disease (idiopathic Parkinson’s disease).
 
Pour citer ce document
Corti, Olga ; Brice, Alexis ; La maladie de Parkinson : que nous apprennent les gènes responsables des formes familiales ?, Med Sci (Paris), 2003, Vol. 19, N° 5; p. 613-619 ; DOI : 10.1051/medsci/2003195613
URI
http://hdl.handle.net/10608/4767
Collections
  • MS 2003 num. 05
Recherche avancée

Nos collections

Rapports d'expertise collectiveLes Cahiers du Comité pour l'histoire de l'InsermArchives et patrimoine numériqueRevue médecine/sciencesInserm magazineLes Dossiers Sciences et société

Parcourir

Tout iPubliCommunautés & CollectionsPar date de publicationAuteursTitresSujetsCette collectionPar date de publicationAuteursTitresSujets

Mon compte

Ouvrir une session

Rapport d'activité

Publications les plus consultéesStatistiques par paysAuteurs les plus consultés
Lexique iPubli
 
Sites du DSO (département Science Ouverte) :
  • Insermbiblio
  • MeSH bilingue
  • HAL-Inserm
Nos partenaires :
  • Service des archives de l'Inserm
  • Délégation Régionale Inserm Auvergne Rhône Alpes
Contact | Mentions légales | A propos | Accessibilité (non conforme)
Institut national de la santé et de la recherche médicale - 101, rue de Tolbiac | 75654 Paris Cedex 13
 

 

 
Sites du DSO (département Science Ouverte) :
  • Insermbiblio
  • MeSH bilingue
  • HAL-Inserm
Nos partenaires :
  • Service des archives de l'Inserm
  • Délégation Régionale Inserm Auvergne Rhône Alpes
Contact | Mentions légales | A propos | Accessibilité (non conforme)
Institut national de la santé et de la recherche médicale - 101, rue de Tolbiac | 75654 Paris Cedex 13