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Transplantation hépatique chez l’adulte

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Date
2005
Auteur
Durand, François
Belghiti, Jacques
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MS_2005_1_89.pdf (284.8Ko)
MS_2005_1_89.html (55.87Ko)
Metadata
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Résumé
La transplantation hépatique permet de traiter les formes les plus graves de cirrhose, ainsi que certaines tumeurs malignes du foie (carcinomes hépatocellulaires de petite taille), avec une espérance de vie dépassant respectivement 70% et 60% à cinq ans. Les traitements immunosuppresseurs actuels permettent à la fois de prévenir le rejet chronique dans plus de 90% des cas et d’assurer le plus souvent une excellente qualité de vie. Le facteur limitant principal est le manque de donneurs en état de mort cérébrale. En effet, malgré une sélection des candidats ayant les meilleures chances de succès, l’attente d’un greffon dure habituellement plusieurs mois et la mortalité en liste d’attente est de 10% à 15%. Le manque de donneurs a conduit à développer des alternatives à la transplantation conventionnelle, dont les principales sont les techniques du donneur vivant et du foie partagé. La transplantation par donneur vivant peut s’appliquer à environ 20% à 30% des candidats. Le greffon, bien qu’il soit initialement de petite taille, se régénère et retrouve une taille normale en quelques semaines. Les résultats en termes de survie sont équivalents à ceux de la transplantation par donneur cadavérique. Le risque pour le donneur doit être inférieur à 1%, ce qui conduit à une sélection très attentive. Les donneurs ne peuvent être que des parents directs ou le conjoint. La technique du foie partagé repose sur le partage d’un greffon cadavérique en deux parties autonomes attribuées à deux receveurs. Bien qu’attractive, cette méthode ne peut être appliquée qu’à moins de 25% des donneurs. L’incitation au don d’organes dans la population générale reste donc encore une priorité.
 
Liver transplantation allows to treat patients with end-stage cirrhosis as well as some liver malignancies (small size hepatocellular carcinoma) with a life expectancy exceeding 70 and 60% at 5 years, respectively. Current immunosuppressive agents make it possible to prevent chronic rejection in more than 90% of the patients and to preserve an excellent quality of life in most cases. The principal limiting factor for liver transplantation is represented by the scarcity of brain-dead donors. Indeed, despite the selection of those candidates who have the best chance of surviving after transplantation, several months are usually necessary for obtaining a graft and the mortality on the waiting list may reach 10 to 15%. Organ shortage incited to develop alternatives to conventional transplantation, the most important of which are living donor transplantation and split liver transplantation. Living donor transplantation can be applied to about 20 to 30% of candidates. Thought initially smaller, the partial graft regenerates and its volume is restored within a few weeks. The results of living donor transplantation in terms of survival are comparable to those of cadaveric transplantation. The risk for the donor has to be lower than 1% which makes that selection must be especially cautious. Donors must be direct relatives or spouses. Split liver transplantation technique, based on the separation of a cadaveric graft into two functional parts transplanted in two distinct recipients, although attractive, is applicable to less than 25% of the donors. Education for organ donation in the general population still remains a priority.
 
Pour citer ce document
Durand, François ; Belghiti, Jacques ; Transplantation hépatique chez l’adulte, Med Sci (Paris), 2005, Vol. 21, N° 1; p. 89-94 ; DOI : 10.1051/medsci/200521189
URI
http://hdl.handle.net/10608/5429
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