JavaScript is disabled for your browser. Some features of this site may not work without it.
  • Nos collections

    • Rapports d'expertise collectiveLes Cahiers du Comité pour l'histoire de l'InsermArchives et patrimoine numériqueRevue médecine/sciencesInserm magazineLes Dossiers Sciences et société
  • Parcourir

    • Tout iPubliCommunautés & CollectionsPar date de publicationAuteursTitresSujetsCette collectionPar date de publicationAuteursTitresSujets
  • Mon compte

    • Ouvrir une session
  • Rapport d'activité

    • Publications les plus consultéesStatistiques par paysAuteurs les plus consultés
  • Lexique iPubli

  Accueil iPubli 
  •   Accueil iPubli
  • Revue médecine/sciences
  • médecine/sciences 2005
  • MS 2005 num. 01
  • Voir le document
  •   Accueil iPubli
  • Revue médecine/sciences
  • médecine/sciences 2005
  • MS 2005 num. 01
  • Voir le document
Ecoutez

En savoir plus

  • Bref historique
  • Site de l'éditeur EDP Sciences

Il faut toujours plus qu’un homme et une femme pour faire un enfant

Thumbnail
Date
2005
Auteur
Godelier, Maurice
Voir/Ouvrir
MS_2005_1_99.pdf (91.18Ko)
MS_2005_1_99.html (26.70Ko)
Metadata
Afficher la notice complète
Résumé
L’un des cinq axes permettant de comparer des sociétés et des cultures est celui de « naître, vivre et mourir ». Avant de naître, un être humain doit avoir été conçu. Et ce sont précisément les représentations que se font les sociétés du processus de fabrication d’un enfant qui sont explorées dans cet article. Les données ethnographiques concernant vingt-six sociétés ont été comparées et le résultat de cette comparaison est que, dans aucune de ces sociétés, on ne pense qu’un homme et une femme suffisent à fabriquer un enfant, que cet enfant soit un humain ordinaire ou un humain extraordinaire, un chef ou un homme-dieu. Partout, quels que soient les systèmes de parenté ou les structures politicoreligieuses, ce que font un homme et une femme c’est fabriquer un foetus, qui nécessitera, pour devenir un enfant humain complet, l’intervention d’agents plus puissants que les humains, c’est-à-dire des ancêtres ou des dieux. Dans cet article sont résumés les résultats de cette analyse comparée de quelques théories culturelles de la procréation et de la conception des enfants.
Pour citer ce document
Godelier, Maurice ; Il faut toujours plus qu’un homme et une femme pour faire un enfant, Med Sci (Paris), 2005, Vol. 21, N° 1; p. 99-101 ; DOI : 10.1051/medsci/200521199
URI
http://hdl.handle.net/10608/5431
Collections
  • MS 2005 num. 01
Recherche avancée

Nos collections

Rapports d'expertise collectiveLes Cahiers du Comité pour l'histoire de l'InsermArchives et patrimoine numériqueRevue médecine/sciencesInserm magazineLes Dossiers Sciences et société

Parcourir

Tout iPubliCommunautés & CollectionsPar date de publicationAuteursTitresSujetsCette collectionPar date de publicationAuteursTitresSujets

Mon compte

Ouvrir une session

Rapport d'activité

Publications les plus consultéesStatistiques par paysAuteurs les plus consultés
Lexique iPubli
 
Sites du DSO (département Science Ouverte) :
  • Insermbiblio
  • MeSH bilingue
  • HAL-Inserm
Nos partenaires :
  • Service des archives de l'Inserm
  • Délégation Régionale Inserm Auvergne Rhône Alpes
Contact | Mentions légales | A propos | Accessibilité (non conforme)
Institut national de la santé et de la recherche médicale - 101, rue de Tolbiac | 75654 Paris Cedex 13
 

 

 
Sites du DSO (département Science Ouverte) :
  • Insermbiblio
  • MeSH bilingue
  • HAL-Inserm
Nos partenaires :
  • Service des archives de l'Inserm
  • Délégation Régionale Inserm Auvergne Rhône Alpes
Contact | Mentions légales | A propos | Accessibilité (non conforme)
Institut national de la santé et de la recherche médicale - 101, rue de Tolbiac | 75654 Paris Cedex 13