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Environnement social, incorporation biologique et inégalités sociales de santé

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Date
2018
Auteur
Delpierre, Cyrille
Castagné, Raphaële
Lang, Thierry
Kelly-Irving, Michelle
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MS_2018_08-09_740.pdf (294.3Ko)
MS_2018_08-09_740.html (53.76Ko)
Metadata
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Résumé
Le gradient social de santé renvoie au fait que plus on s’élève dans la hiérarchie sociale meilleur est l’état de santé. La compréhension de la construction du gradient constitue un enjeu majeur en épidémiologie sociale. Une approche originale consiste à s’intéresser à la façon dont les différentes expositions associées à l’environnement social (chimiques, physiques, comportementales, psychosociales, etc.) s’expriment in fine biologiquement pour influencer positivement ou négativement la santé, renvoyant au concept d’incorporation biologique. Des données issues des modèles animaux et de l’épidémiologie dite « life course » permettent d’éclairer sous un jour nouveau les mécanismes biologiques potentiellement en jeu. Les découvertes récentes issues du champ de l’épigénétique permettent de mieux comprendre comment l’environnement social, notamment précoce, peut influencer le fonctionnement biologique sur le long terme, voire sur plusieurs générations. Les travaux sur l’incorporation biologique du social en lien avec l’épigénétique sont encore très largement à consolider, mais ils pourraient constituer un changement de perspective en biologie humaine notamment en reconsidérant l’influence de l’environnement sur le fonctionnement biologique, ce qui n’est pas sans conséquence en termes d’interventions en santé publique.
 
The social gradient in health refers to the fact that the higher individuals rise in the social hierarchy, the better is their health. Understanding the construction of this gradient is a major challenge in social epidemiology. An original approach consists in looking at how the different exposures (chemical, physical, behavioural, psychosocial…) associated with the social environment are ultimately expressed at the biological level influencing health positively or negatively, referring to the concept of biological embedding. Data from animal models and life course epidemiology have shed new light on the biological mechanisms potentially at play. Recent discoveries from the field of epigenetics provide a better understanding of how the social environment, especially the early environment, can influence biological functioning over the long term or even over several generations. The work on the biological embedding of the social environment in connection with epigenetics still needs to be very largely consolidated, but could constitute a change of perspective in human biology, particularly by reconsidering the influence of the environment on biological functioning, which is not without consequences in terms of public health interventions.
 
Pour citer ce document
Delpierre, Cyrille ; Castagné, Raphaële ; Lang, Thierry ; Kelly-Irving, Michelle ; Environnement social, incorporation biologique et inégalités sociales de santé, Med Sci (Paris), , Vol. 34, N° 8-9 ; p. 740-744 ; DOI : 10.1051/medsci/20183408023
URI
http://hdl.handle.net/10608/9854
Collections
  • MS 2018 num. 08-09
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