Dégradation d’un anticancéreux dans les eaux usées : Une médaille d’or pour l’équipe GO Paris-Saclay

Date
2018Auteur
Aubry, Céline
Bouloc, Phillipe
Bury-Moné, Stéphanie
Ferré, Arnaud
Lautru, Sylvie
Namy, Olivier
Sabeti-Azad, Mahnaz
Metadata
Afficher la notice complèteRésumé
iGEM (pour international genetically engineered machine) est un concours international autour de la biologie synthétique réunissant des étudiants de toutes disciplines (mathématiques, physique, biologie, arts, etc.). « L’objectif est de construire un système biologique fonctionnel complexe, en assemblant des composants individuels moléculaires simples et standardisés (fragments d’ADN), appelés « briques biologiques » (biobriques), sorte de « legos » moléculaires, entreposés au MIT (Massachusetts Institute of Technology) (le registry of standard biological parts contient environ 20 000 biobriques). C’est une démarche proche de celle de l’ingénieur qui assemble des circuits électroniques ». En 2004, lors de sa création par le MIT (→), la compétition iGEM regroupait une quarantaine de projets ; 14 ans plus tard, elle accueille 350 équipes (6 000 étudiants, avec leurs instructeurs) issues des universités du monde entier. Elle culmine en un Giant Jamboree1 de quatre jours à Boston en novembre, au cours duquel les équipes présentent leur projet. Le « wiki » de la compétition (www.igem.org) présente l’ensemble des projets ainsi que le palmarès. Cette année, ont été décernées 114 médailles d’or, 68 d’argent et 107 de bronze. Neuf équipes françaises étaient engagées. (→) Voir l’article de J. Peccoud et L. Coulombel, dont certains passages sont repris dans ce « chapo », m/s n° 5, mai 2007, page 551
Pour citer ce document
Aubry, Céline ; Bouloc, Phillipe ; Bury-Moné, Stéphanie ; Ferré, Arnaud ; Lautru, Sylvie ; Namy, Olivier ; Sabeti-Azad, Mahnaz ; Dégradation d’un anticancéreux dans les eaux usées : Une médaille d’or pour l’équipe GO Paris-Saclay, Med Sci (Paris), , Vol. 34, N° 12 ; p. 1111-1114 ; DOI : 10.1051/medsci/2018304