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dc.contributor.authorGalzi, Jean-Luc-
dc.contributor.authorIlien, Brigitte-
dc.date.accessioned2018-02-06T15:00:02Z
dc.date.available2018-02-06T15:00:02Z
dc.date.issued2012
dc.identifier.citationGalzi, Jean-Luc ; Ilien, Brigitte ; Les récepteurs couplés aux protéines G : Des régulateurs allostériques du métabolisme cellulaire, Med Sci (Paris), 2012, Vol. 28, N° 10 ; p. 852-857 ; DOI : 10.1051/medsci/20122810013
dc.identifier.issn1958-5381
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/10608/7949
dc.description.abstractIl y a environ cinquante ans, l’isolement des premières enzymes et l’analyse de leur mécanisme réactionnel ont mis les biochimistes au défi de comprendre le fonctionnement des enzymes régulatrices. Différents modèles fondés sur des informations pharmacologiques, enzymatiques et structurales ont été proposés. Parmi ceux-ci, le modèle dit allostérique de Monod, Wyman et Changeux décrit des protéines régulatrices qui peuvent adopter plusieurs conformations, interconvertibles et différemment stabilisées par les substrats, les produits et les effecteurs allostériques. Ces derniers interagissent au niveau de sites régulateurs topographiquement distincts du site enzymatique. Les divers états conformationnels associent des propriétés fonctionnelles et structurales distinctes. Enfin, la nature oligomérique des protéines qui ont servi à construire ce modèle a permis de décrire un phénomène important, la coopérativité. Celle-ci reflète la capacité d’une molécule liée à une sous-unité de la protéine à faciliter ou à défavoriser la liaison d’une deuxième molécule sur une sous-unité voisine. Ce concept d’allostérie a évolué. Il est à présent étendu aux phénomènes de modulation allostérique qui mettent en jeu des molécules distinctes, se liant à leurs sites propres sur une protéine monomérique, comme par exemple un récepteur couplé aux protéines G. Cet article a pour objectif de discuter la manière dont les récepteurs couplés aux protéines G, d’une part, s’inscrivent dans un modèle d’architecture fonctionnelle répondant aux règles de l’allostérie et, d’autre part, sont soumis à une modulation de leurs propriétés pharmacologiques et fonctionnelles par des effecteurs allostériques, des petites molécules ou des protéines cellulaires, avec lesquels ils établissent des contacts stables ou transitoires.fr
dc.description.abstractFifty years ago, the first successful isolation of enzymes and the study of their reaction mechanisms challenged biochemists to investigate their biological regulation. Various models have been proposed on the basis of available catalytical, pharmacological and structural information. The “allosteric model” of Monod, Wyman and Changeux describes regulatory proteins that can adopt multiple interconvertible conformations, differently stabilized by substrates, products and allosteric effectors. These effectors target regulatory sites topographically distinct from the enzymatic reaction center. Each conformational state is characterized by a unique set of pharmacological, functional and structural properties. The oligomeric nature of the proteins which were used to construct this model allowed to describe an important phenomenon, referred to as cooperativity. It explains how the binding of a molecule to one subunit of the protein can facilitate, or conversely impede, the binding of a second molecule to a neighboring subunit. This concept has evolved and now extends to allosteric regulatory phenomena dealing with distinct effectors that bind to their own sites on a monomeric protein, such as a G-protein coupled receptor. This article focuses on G-protein-coupled receptors and aims to discuss (1) how their functional architecture meets the rules of allostery, and (2) how allosteric effectors (small molecules or cell components), with which the receptors establish stable or transient interactions, may cooperate to finely tune their pharmacological and functional properties.en
dc.language.isofr
dc.publisherÉditions EDK/Groupe EDP Sciences
dc.relation.ispartofRécepteurs couplés aux protéines G
dc.rightsArticle en libre accèsfr
dc.rightsMédecine/Sciences - Inserm - SRMSfr
dc.sourceM/S. Médecine sciences [ISSN papier : 0767-0974 ; ISSN numérique : 1958-5381], 2012, Vol. 28, N° 10; p. 852-857
dc.subject.meshRégulation allostériquefr
dc.subject.meshphysiologiefr
dc.subject.meshSite allostériquefr
dc.subject.meshAnimauxfr
dc.subject.meshCellulesfr
dc.subject.mesheffets des médicaments et des substances chimiquesfr
dc.subject.meshmétabolismefr
dc.subject.meshConception de médicamentfr
dc.subject.meshHumainsfr
dc.subject.meshLigandsfr
dc.subject.meshModèles biologiquesfr
dc.subject.meshConformation moléculairefr
dc.subject.meshThérapie moléculaire cibléefr
dc.subject.meshméthodesfr
dc.subject.meshRécepteurs couplés aux protéines Gfr
dc.subject.meshcomposition chimiquefr
dc.subject.meshgénétiquefr
dc.titleLes récepteurs couplés aux protéines G : Des régulateurs allostériques du métabolisme cellulairefr
dc.title.alternativeG protein-coupled receptors: allosteric regulators of cell metabolismen
dc.typeArticle
dc.contributor.affiliationDépartement biotechnologie et signalisation cellulaire, UMR 7242 CNRS, Université de Strasbourg, École supérieure de biotechnologie de Strasbourg, boulevard Sébastien Brant, BP 10413, 67412 Illkirch Cedex, France
dc.identifier.doi10.1051/medsci/20122810013
dc.identifier.pmid23067416


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